• Le genre Mammuthus était un groupe largement répandu, bien adapté au froid. Venant d’Afrique, les mammouths se sont dispersés vers l’Eurasie, puis vers l’Amérique du Nord au Pléistocène inférieur. Les dernières espèces se sont éteintes à partir du Tardiglaciaire et au début de la période actuelle qu'est l'Holocène (dernière attestation d'une espèce de mammouth vers 1700 ans av. J.-C. au nord de la Sibérie).

    Les ossements de mammouths sont connus depuis la fin du XVIIIe siècle et c'est Georges Cuvier qui reconnut qu'ils étaient les ancêtres des éléphants (ils en sont en réalité de proches cousins). Le premier exemplaire congelé est découvert en Sibérie en 1799.

    Étymologie

    Le mot « mammouth » fut fixé au cours du XVIIe siècle par Nicolas Witsen, voyageur hollandais. Bien que l'origine exacte de ce terme soit inconnue, il est possible qu'il provienne d'une légende des Iakoutes de Sibérie, selon laquelle les défenses de mammouth provenaient d'animaux vivants, sortes de rats géants. Ainsi « Ma » signifierait terre, et « mut » la taupe[2]. Une autre thèse évoque le Béhémoth, animal monstrueux du livre de Job, comme origine[2].

    Taxonomie

    Synonymes :

    • Leviathan Koch 1841
    • Missourium Koch, 1840

    Description

    Comme tous les éléphantidés, les mammouths étaient de grands mammifères présentant une tête volumineuse avec une trompe et un corps massif, aux membres en piliers munis de 5 doigts. Au cours de leur évolution, la taille des oreilles et de la queue a fortement diminué, un admirable clapet anal est apparu et trois couches ont permis de le protéger contre le froid : une couche de graisse de 8 cm, une peau de 2 cm d'épaisseur et trois types de poils, dont les derniers, ceux qui encaissaient les chocs thermiques, pouvaient atteindre un mètre de longueur. L'une des plus grandes espèces de mammouth, Mammuthus sungari, pesait en moyenne entre 6 et 8 tonnes, soit autant qu'un gros éléphant d'Afrique, mais certains mâles auraient atteint le poids de 12 tonnes. Certains mammouths atteignaient 5 mètres au garrot.

    Les plus anciennes espèces que l'on peut attribuer au genre mammouth sont originaires d'Afrique :

    Classification et évolution

    À partir de cette origine africaine se développent en Eurasie puis en Amérique plusieurs espèces qui pour partie ont pu être contemporaines :

    Molaire de mammouth

    Les dates d'extinction des mammouths peuvent être estimées ainsi :

    • Il y a 12 000 ans pour Mammuthus exilis ;
    • Il y a 10 000 ans pour Mammuthus columbi et Mammuthus primigenius en Amérique du Nord et pour Mammuthus primigenius en Europe ;
    • Il y a 3 700 ans [3], pour les dernières formes naines de Mammuthus primigenius dans l'île Wrangel au nord-est de la Sibérie ; 8 000 ans pour les spécimens de l'Île Saint-Paul.

    Les mammouths ont sans doute disparu suite à un réchauffement rapide (en environ 1000 ans), ce qui a contribué à faire disparaître la steppe à mammouth, faite d'herbe et d'arbustes, au profit des forêts de conifères au sud et des régions couvertes de neige au nord. Les molaires du mammouth sont parfaitement adaptées au broutage de l'herbe mais sans doute pas à celui des feuillages d'arbres.

    Auparavant, le mammouth s'était adapté à plusieurs glaciations et réchauffements successifs par modifications de sa pilosité ainsi que de la taille et de la forme de ses défenses. La responsabilité de l'homme dans sa disparition est parfois avancée, mais n'est pas clairement démontrée.

    Restes préservés

    Squelette de mammouth du Musée de Saint-Pétersbourg
    Squelette du Musée national d'Histoire naturelle de Neuchâtel
    L'unique exemplaire de mammouth reconstitué exposé dans un musée russe

    Des restes de mammouths congelés ont été découverts dans les parties septentrionales de la Sibérie. Cependant, la croyance populaire selon laquelle les mammouths ont été gelés instantanément et sont ainsi parfaitement préservés est un mythe propagé par des pseudo-scientifiques comme Immanuel Velikovsky. La bonne conservation est très rare, et implique que l'animal ait été enterré rapidement dans des liquides ou semi-liquides tels que du limon, de la boue ou de l'eau qui auraient ensuite gelé.

    Plusieurs possibilités sont envisageables. Des mammouths ont pu être piégés dans des marais ou des sables mouvants, et mourir de faim ou de froid, ou encore se noyer. Ils ont pu passer à travers la glace dans des étangs ou des nids de poule. On sait que beaucoup sont morts dans des rivières, probablement en ayant été emportés par leurs flots. Dans la rivière Berelekh en Iakoutie, au nord-est de la Sibérie, plus de 9000 ossements d'au moins 156 différents individus ont été retrouvés, apparemment rassemblés par le courant.

    À ce jour, trente-neuf corps préservés ont été trouvés, bien que seulement quatre soient complets. Dans la plupart des cas, la chair montre des signes de putréfaction avant son gel et sa dessiccation. Les histoires de mammouths congelés dont la chair était encore mangeable après décongélation abondent, mais les sources sérieuses [4] indiquent en fait que les cadavres étaient fort décomposés, et que l'odeur était si repoussante que seuls les chiens accompagnant les auteurs de la découverte avaient montré de l'intérêt pour la viande.

    Par ailleurs, de grandes quantités d'ivoire de mammouths ont été découvertes en Sibérie. Les défenses de mammouth ont fait l'objet de commerce depuis au moins 2000 ans, et s'échangent à prix d'or. Güyük, le Khan des Mongols au XIIIe siècle, est connu notamment pour avoir possédé un trône fabriqué en ivoire de mammouth.

    En s'appuyant sur un cas reporté de croisement entre un éléphant d'Afrique et un éléphant d'Asie, certains ont développé la théorie que si les mammouths étaient encore vivants aujourd'hui, ils pourraient se croiser avec des éléphants d'Asie.

    Cela a conduit à l'idée qu'un animal proche d'un mammouth pourrait être recréé à partir de matériel génétique de mammouth congelé utilisé en combinaison avec celui d'un éléphant indien.[5] L'idée est plausible, mais la difficulté demeure de trouver de l'ADN qui, après des milliers d'années, serait en assez bon état pour permettre un tel clonage.

    Par ailleurs, en décembre 2005, une équipe de chercheurs allemands, britanniques et américains a réussi à obtenir de l'ADN mitochondrial de mammouth, ce qui a permis de mettre en évidence la relation étroite entre le mammouth et l'éléphant d'Asie. Il semble que les éléphants d'Afrique appartiennent à une branche différente du mammouth, dont la lignée se serait séparée il y a environ 6 millions d'années, à l'époque où par ailleurs on assistait à la séparation entre gorilles, chimpanzés et êtres humains.

    Un bébé mammouth de sexe femelle, baptisé Lyuba, a été découvert congelé en mai 2007 dans la Péninsule Yamal en Sibérie par des bergers nénètses qui eurent la bonne idée de prévenir immédiatement les autorités locales. Le spécimen a pu être transporté dans les meilleures conditions, en caisson réfrigéré, de Sibérie jusqu'à la faculté de médecine de l'université Jikei à Tokyo où il a été scanné. Sa conservation s'est avérée remarquable. Des échantillons de tissus ont été envoyés aux Pays-Bas pour une datation au Carbone 14 qui révéla que le jeune animal était mort il y a 40 000 ans. L'analyse de son ADN bien préservé a révélé qu'il appartenait à une lignée de mammouths distincte de celle de Mammuthus primigenus qui, quelques temps plus tôt, avait été remplacée par une autre lignée de mammouths qui, provenant d'Amérique du Nord, migra en Sibérie. De plus, les scientifiques qui ont mené l'autopsie ont découvert que ce bébé mammouth avait une grosse bosse sur la tête (celle-ci étant la plus grosse que l'homme ait pu observer). Une partie de celle-ci s'est avéré être de la graisse servant à régulariser la température du corps de l'animal[réf. nécessaire]. Les scientifiques formulent l'espoir de pouvoir un jour, à l'aide de son ADN, cloner cet individu. Selon Bernard Buigues, des chercheurs danois de l'université Niels Bohr ont mis au point une technique pour extraire et amplifier cet ADN[6]. L'examen des prémolaires et des défenses a révélé que l'animal était né au printemps et n'était âgé que d'un mois lorsqu'il mourut noyé dans une rivière boueuse : on a observé un mélange dense d'argile et de sable dans sa bouche et dans sa gorge. Quant au contenu intestinal, il montra que le bébé mammouth, à l'instar des très jeunes éléphants actuels, avait ingéré les fèces d'un mammouth adulte, vraisemblablement de sa mère, afin de s'inoculer la flore bactérienne indispensable à la digestion des plantes[7].

    Anatomie et caractéristiques

    Les mammouths sont en général caractérisés par des défenses proéminentes (la plus grande défense jamais retrouvée mesure près de 5 mètres), et un système laineux épais (poils six fois plus épais qu'un cheveu humain), signe d'une adaptation au froid. Ainsi, les mammouths utilisaient leur longues défenses pour fouiller dans la neige les herbes à brouter. La tête, allongée et en forme de dôme, abritait des sinus très développés, permettant ainsi le traitement d'une grande quantité d'air froid.

    Les mammouths et l'Homme

    Il existe de nombreux indices de coexistence entre les deux espèces :

    • présence d'outils ou d'œuvres d'art réalisés à base d'ossements de mammouths ;
    • représentations picturales sur les parois de certaines grottes, en particulier à Rouffignac ou à Pech Merle ;
    • représentations sculptées dont un exemplaire gravé dans une défense, présenté pour la première fois à l'exposition universelle de Paris en 1867.

    Mammouths et cryptozoologie

    Le bruit a parfois couru que le mammouth ne serait pas vraiment éteint et que de petits troupeaux isolés survivraient dans la toundra de l'hémisphère nord, vaste et peu peuplée. Vers la fin du dix-neuvième siècle, selon Bengt Sjögren, des rumeurs persistaient sur la survie de mammouths au fin fond de l'Alaska . En octobre 1899, un certain Henry Tukeman aurait raconté en détail comment il avait tué un mammouth en Alaska et avait ensuite donné l'exemplaire à la Smithsonian Institution de Washington, D.C. Mais le musée a nié l'affaire, qui s'est révélée être un canular. Sjögren croit que le mythe a commencé quand le biologiste américain C.H. Townsend, lors d'un voyage en Alaska, a vu des Esquimaux échanger des défenses gigantesques, qu'il leur a demandé si des mammouths vivaient toujours en Alaska et qu'il leur a montré un dessin de l'animal.

    Au XIXe siècle, plusieurs rapports sur « de grandes bêtes velues » ont été transmis aux autorités russes par un membre d'une tribu sibérienne, mais aucune preuve scientifique n'a jamais été fournie. En 1946, un chargé d’affaires français travaillant à Vladivostok, M. Gallon, a assuré qu'en 1920 il avait rencontré un trappeur russe qui prétendait avoir vu des « éléphants » géants et velus, vivant au cœur de la taïga. Gallon ajoutait que ce trappeur n'avait même pas entendu parler auparavant des mammouths et qu'il parlait des mammouths comme d'animaux vivant dans la forêt, à une époque où on les imaginait vivant dans la toundra et dans la neige .

    Séquençage de l'ADN et clonage du mammouth

    Le décodage de 70 % du génome du mammouth, en 2008, a fait naître l'espoir que l'espèce puisse un jour être ramenée à la vie. D'énormes obstacles subsistent, mais les nouvelles technologies et la proximité génétique entre le mammouth et les éléphants actuels suggèrent des moyens par lesquels cette expérience pourrait être un jour réalisée.

    Des chercheurs de la Penn State University ont séquencé environ 85 % du génome du mammouth laineux à partir de l'ADN d'échantillons de poils provenant de plusieurs spécimens, envisageant la possibilité de ramener cette espèce à la vie en insérant des séquences d'ADN de mammouth dans le génome de l'éléphant actuel. Même si les échantillons ont été traités pour éliminer les éventuelles contaminations bactériennes ou fongiques, certaines séquences pourraient provenir d'organismes extérieurs ; elles doivent encore être comparées à l'ADN des éléphants actuels, cette étude est actuellement réalisée au Broad Institute .

    Les informations issues du séquençage ne peuvent pas être utilisées directement pour synthétiser de l'ADN de mammouth, mais Stephan Schuster, le responsable du projet, souligne que les gènes du mammouth ne diffèrent de ceux de l'éléphant d'Afrique que par 400 000 sites ; il serait selon lui possible de modifier une cellule d'éléphant au niveau de ces sites afin de la faire ressembler à une cellule portant un génome de mammouth et de l'implanter dans une femelle éléphant.

    Selon Jacques Testard, « pour voir gambader dans nos champs des petits mammouths », il reste à accomplir « une chaîne de performances assez improbable car pour faire revivre (ou seulement vivre) un animal il faut mettre en jeu beaucoup plus que son ADN ».


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  • Le smilodon ou tigre à dents de sabre est un animal de la famille des félidés qui vivait en Amérique entre 2,5 millions d'années et 10 milliers d'années avant notre ère. Semblable au lion, il était caractérisé par ses longues canines supérieures émergeant devant la mâchoire inférieure.

    Le smilodon avait une taille comparable à celle d'un lion, sa queue était courte et ses griffes, comme la plupart des grands félins, étaient longues et rétractiles. Le smilodon (dents en couteaux) doit son nom à ses gigantesques canines de 18 cm lui servant sans doute à « poignarder » ses victimes. Il pesait 200 à 300 kg, mesurait environ 2 à 3 mètres et pouvait ouvrir sa gueule jusqu'à 120°.

    Espèces et parenté

    Le smilodon fait partie des Smilodontini, tribu comprenant également Paramachairodus et Megantereon.

    Il existait 3 espèces de smilodons :

    • Smilodon gracilis : la plus petite des trois espèces de tigres préhistoriques, également la plus ancienne. Il vivait en Amérique du Nord au début du Pléistocène ;
    • Smilodon fatalis : de la taille d'un lion, il était sociable et vivait au sud de l'Amérique du Nord pendant pratiquement tout le Pléistocène. Elle comprend deux sous-espèces : Smilodon fatalis floridanus (de Floride) et Smilodon fatalis californicus (du sud des États-Unis jusqu'au Pérou) ;
    • Smilodon populator (Smilodon neogaeus) : la plus grande espèce, il était sociable et vivait dans le bassin brésilien pendant la fin du Pléistocène.

    Comportement social

    Le smilodon était une espèce vivant en groupes bien hiérarchisés, à la manière du lion. Des traces retrouvées sur les fossiles de La Brea témoignent du fait que des animaux, bien qu'ayant été sérieusement blessés, ont survécu plusieurs mois, alors que leurs blessures les empêchaient de chasser. Cela semble prouver que les membres du groupe s'entraidaient.

    Chasse

    Le smilodon aurait été un grand prédateur. On estime d'après sa morphologie, sa masse musculaire et sa mâchoire qu'il chassait les grands mammifères : des bisons (jeunes ou malades), des chevaux et des camélidés. On sait qu'il était également charognard car beaucoup de ses fossiles ont été retrouvés autour d'autres fossiles à La Brea. Il pouvait manger jusqu'à 8 kg de viande par jour. Son absence de queue (dont les félins se servent pour équilibrer leur course) et sa morphologie laissent penser qu'il ne pouvait pas courir longtemps[1] et devait donc approcher ses proies par surprise.

    Sa mâchoire étudiée par des biomécaniciens montre une capacité de pression bien inférieure à celle d'un lion actuel et équivalente à celle d'un gros chien. La longueur et la courbure de ses dents de sabre mais surtout leur grande fragilité sur des mouvements latéraux limitaient grandement sa gamme de proie et sa manière de les attaquer. Il ne pouvait ainsi pas les saisir avec la mâchoire comme les félins actuels, mais sans doute les agripper avec ses griffes, les faire tomber, et ensuite d'un coup de mâchoire à la gorge, trancher avec ses dents de sabre les artères vitales de la proie (les félins actuels étouffent le grand gibier en serrant leur mâchoire sur leur gorge).

    Le smilodon n'était pas le plus grand prédateur nord-américain du Pléistocène, il était contemporain à Panthera leo atrox (lion d'Amérique) et Arctodus simus (ours à face courte), les deux plus grands prédateurs de l'époque. Un autre de ses concurrents était l'oiseau géant Phorusrhacos, qui mangeait probablement les carcasses laissées par Smilodon.

    Une autre hypothèse est que le smilodon utilisait ses dents mâchoires fermées pour casser la glace, ou assommer ses proies (eusmilus) à la façon des morses, déchirer les épaisses couches de graisse de mammifères marins. Il possédait une alimentation et un comportement proche de celui de l'ours polaire, peut-être était-il même meilleur nageur que celui-ci. La musculature du cou ainsi que la taille des vertèbres cervicale et dorsale peuvent étayer cette hypothèse.

    Sa disparition

    Plusieurs hypothèses sont émises sur sa disparition dont la période correspond à une disparition de nombreuses espèces animales en Amérique du Nord, avec un changement climatique et un développement de la population humaine par le peuplement amérindien. Une autre hypothèse est celle du changement climatique qui a entrainé une disparition ou une adaptation du grand gibier avec par exemple l'apparition du bison des plaines, adaptation que n'aurait pas réussi ce chasseur très spécialisé qu'était le smilodon. L'hypothèse d'une chasse par l'homme n'est pas exclue.


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  • Fichier:Alalcomenaeus.jpg

    Alalcomenaeus est un genre préhistorique d'arthropode des schistes de Burgess, peut-être apparenté à Actaeus.

    Description

    Le bouclier céphalique précédait un corps de douze segments et une plaque terminale ovale. La tête présentait une paire de grands appendices, chacun débutant par une portion robuste suivie d’un long prolongement très fin. Une série d’épines sur la face interne des pattes locomotrices permettaient l’acheminement des aliments jusqu’à la bouche.

    Référence

    • Simonetta, 1970 : Studies on non-trilobite arthropods of the Burgess Shale (Middle Cambrian). The genera Leanchoilea, Alaloomenaeus, Opabinia, Burgessia, Yohoia and Actaeus. Palaeontographia Italica, vol. 66, p. 35-45.

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  • L’Actinodon est un amphibien qui vécut au carbonifère. Il appartenait à l'ordre des Labyrinthodontes. Comme ses cousins, il se nourrissait d'insectes et d'autres amphibiens.


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  • Cacops aspidephorus est une espèce d'amphibien fossile du permien, la seule du genre Cacops.

    Il a été découvert au Texas par Samuel Wendell Williston en 1910. Il fait partie du groupe des temnospondyles. Il mesurait 40 cm de long et était protégé par une double rangée de plaques de blindage. Le corps était court et il semblerait que c'était un animal nocturne.


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